Yara et le climat: les développements

L’accord sur le climat est un sujet brûlant. Il est sensible dans tout le secteur agricole, et dès lors également dans le secteur des engrais. Vous verrez dans cet article comment Yara aborde les objectifs climatiques.

Kunstmestproductie

Dans le Bénélux, il existe deux grands sites de production d’engrais chimiques azotés, à savoir Tetre en Belgique et Sluiskil aux Pays-Bas. Sluiskil est le plus grand fabricant d’engrais chimiques du Nord-Ouest de l’Europe. Les cinq millions de tonnes d’engrais chimiques qui y sont produits contribuent largement à la satisfaction des besoins alimentaires accrus dans le monde.

Une telle production d’engrais chimiques entraîne l’obligation de limiter autant que possible les émissions de CO2. Et c’est ce que Yara a réalisé. Ce n’est pas pour rien que Sluiskil fait partie des sites de production les plus propres et les plus sûrs du monde. Une réduction de 49% (objectif de l'accord de Paris) de l’émission des gaz à effet de serre par rapport à 1990 est déjà fièrement atteinte. Exemples de mesures :

  • Une grande partie du CO2 est directement vendue ou traitée dans des produits à base d'urée, comme l’Air1 et les engrais synthétiques. Vous les retrouverez par exemple sous forme de bulles dans les boissons rafraîchissantes.
  • La livraison de la chaleur résiduelle et du CO2 à l’horticulture sous serre y apporte sa contribution.
  • La création de l’Ureum 7 a permis d'améliorer l’efficacité énergétique de 35% par tonne de produit. Ceci a bien entendu également une incidence sur l’émission de CO2.
  • Depuis fin 2018, l'hydrogène résiduel de DOW est utilisé pour les produits de Yara. Ceci dégage également une importante économie en CO2.